Aller au contenu principal

Le Feuilleton

vous présente le "Grand Hôtel de France à Alger", un feuilleton de PJ Boussingault

Le Feuilleton

Menu principal

  • Accueil
  • L’épisode du jour
  • Le Grand Hôtel de France à Alger
    • Prologue : Le dit du poulpe
    • Première partie
      • Chapitre un : Sur les ruines
      • Chapitre deux : Sucer des cailloux
      • Chapitre trois : Ce que l’on peut avec ce que l’on a
      • Chapitre quatre : La Société Coloniale d’Alger
      • Chapitre cinq : D’un maître l’autre
      • Chapitre six : Conquis par sa conquête
      • Chapitre sept : L’étrange crime du faubourg Bab-Azoun
    • Premier interlude : Le dit du lion
    • Deuxième partie
      • Chapitre huit : Un frais souffle d’air
      • Chapitre neuf : Comme un premier printemps
      • Chapitre dix : Du soleil, tant qu’il en pleuvait
      • Chapitre onze : Entre deux feux
  • La Terre-Adélie
    • Avant-propos
    • Les désarrois du pélican
    • Le tintamarre intérieur
  • La vitrine
    • L’apaisement
    • L’itinéraire ardennais
    • L’heure du bouclage

Table des matières

Prologue : le dit du poulpe

Première partie :
Chapitre 1 : Sur les ruines
Chapitre 2 : Sucer des cailloux
Chapitre 3 : Ce que l’on peut avec ce que l’on a
Chapitre 4 : La Société coloniale d’Alger
Chapitre 5 : D’un maître l’autre
Chapitre 6 : Conquis par sa conquête
Chapitre 7 : L’étrange crime du faubourg Bab-Azoun

Premier interlude : le dit du lion

Deuxième partie :
Chapitre 8 : Un frais souffle d’air
Chapitre 9 : Comme un premier printemps
Chapitre 10 : Du soleil, tant qu’il en pleuvait
Chapitre 11 : Entre deux feux

Contact

Si vous voulez nous joindre, adressez un courriel à notre équipe à cette adresse: lescribe@lefeuilleton.org.

Pour ne rien rater

Pour recevoir tous les jours un avis de publication, il suffit de vous abonner à la page Facebook du feuilleton.

Fièrement propulsé par WordPress

La loi impose, le feuilleton garantit! Nous sommes obligés de vous demander le consentement aux cookies, ces mouchards soi-disant indispensables au bon fonctionnement de la toile. Il n\'y a ici que ceux qui sont inévitables et ces machins ne serviront à rien ni à personne: un anonymat absolu vous est garanti.